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ALBI

Albi est nommée la « ville rouge » du fait de la couleur des briques de sa cathédrale et de son centre historique.
La cathédrale Sainte Cécile d’Albi est remarquable par son impressionnante cathédrale Sainte Cécile (patronne des musiciens), cathédrale unique de par sa configuration,véritable forteresse de briques rouges, Sainte-Cécile et son Palais de la Berbie, ancien palais des archevêques d’Albi, dominent le tarn ainsi que le centre-ville historique. Ville natale du peintre Henri de Toulouse-Lautrec, le palais de la Berbie abrite un musée regroupant une très importante collection d’œuvres du peintre postimpressionniste.

 

Le pont vieux Le pont est construit au Xieme siècle. Il contribue dès lors au développement urbain et commercial de la ville en jouant un rôle de péage.
Il comporte au Moyen Âge une tour porte fortifiée, une chapelle, et un pont-levis. Du XIV e siècle au XVIIIe siècle, des maisons reposent sur ses piles mais seront démolies après une crue en 1766.
Adossé à la cathédrale Sainte-Cécile, le Palais de la Berbie abrite un musée internationalement connu : le musée Toulouse-Lautrec, consacré à ce grand peintre né à Albi en 1864.
Dans l’écrin magnifique de ce palais où résidaient jadis les évêques d’Albi, vous ferez connaissance avec cet artiste atypique, singulier, attachant. Son univers de cabarets, maisons closes, cirques, champs de courses, … s’exprime à travers une collection à nulle autre pareille d’affiches, de peintures, de dessins et de lithographies.
Explorez les ruelles du centre historique d’Albi, bordées de maisons à colombages héritées du Moyen-Age. Admirez les hôtels particuliers de la Renaissance, témoins d’une prospérité due au commerce du pastel, plante dont on extrayait un pigment bleu.
Débusquez les jardins cachés, les escaliers, les fontaines.
Le centre histrique est un quartier animé où il fait bon flâner au milieu des boutiques, prendre le soleil à la terrasse d’un café, ou entrer dans la halle du marché de style Baltard pour se régaler des bons produits du Tarn.
Albi est classée au patrimoine mondial de l’Unesco depuis 2010

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Ambialet

Entre Albi et les gorges du Tarn, la vallée dessine ici une boucle de trois kilomètres formant une impressionnante presqu’ile rocailleuse.
Ambialet se niche sur cette langue de terre et dévoile son panorama spectaculaire.
Des Celtes aux comtes de Toulouse en passant par la croisade contre les albigeois, cette situation géographique a incité les hommes à venir s’y réfugier et y installer leur pouvoir.
Sur ce terrain accidenté, la ville a évolué en deux visages au fil de l’histoire : Ambialet-le-bas et Ambialet-le-haut . Sur le rocher, le pouvoir seigneurial et le haut lieu de la foi. En bas, au bord de la rivière, la vie qui marche : commerçants, pèlerins le long des sentiers muletiers.
Du haut du prieuré, la vue est à couper le souffle vers les plateaux de l’albigeois et les collines du Ségala. Plus bas, au fil des sentiers et des méandres c’est une immersion totale dans la nature . A pied, à vélo, à cheval ou avec votre canne à pêche, laissez-vous surprendre par les paysages grandioses et les petits trésors cachés.

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St Sernin

Dans le canton de Saint-Sernin, on découvre au hasard d’une promenade des menhirs mystérieux, des châteaux et clochers semés par les siècles, des croix de grès sur les chemins. Traversant le village de Saint-Sernin, le Rance abonde en truites et écrevisses. Mais Saint-Sernin c’est surtout le pays de Victor, l’enfant sauvage.
Il faut quitter la D999 qui traverse Saint-Sernin sur toute sa longueur pour s’enfoncer dans le vieux bourg. On y trouvera encore des témoignages d’une prospérité médiévale. Avec ses ruelles étroites et ses maisons à colombages. Certaines maisons Renaissance ont conservé leurs fenêtres à meneaux. Avis aux amateurs de vieilles pierres, nombre d’entre elles sont à vendre… Il serait dommage de laisser les ruines s’installer.

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Saint Affrique

Ville au Sud du département de l’Aveyron, située dans la vallée de la Sorgues, à 25 km au Sud-Ouest de Millau. Le territoire de cette commune est partie intégrante du Parc Naturel Régional des Grands Causses.
Les vestiges du néolithique abondent autour de la ville où plus de 30 dolmens ont été recensés ; Tiergues, Crassous, Boussac…
La cité fut créée vers le VIIe siècle par un évêque de Comminges, Afric ou Affricanus, qui chassé par les Wisigoths vint mourir sur les bords de la Sorgues dans un bourg dénommé Vicaria Curiensis.
Le nom de Saint Affrique apparaît officiellement en 1238 ; à partir de 1320, la ville appartient conjointement au roi de France, à l’évêque de Vabres et au comte de Caylus ; durant la guerre de Cent Ans elle passe sous domination anglaise, elle est une importante place protestante lors des guerres de religion et des Camisards.
En 1628 elle résistera aux troupes royales commandées par le prince de Condé et le duc d’Épernon.
A la Révolution, la ville prendra le nom de Montagne sur Sorgues.
Le XVIIIe siècle voit commencer la prospérité de la ville avec l’installation de draperies de fabriques de bonneterie et tricot ; cette activité décline au XIXe siècle, sa vocation agricole se confirme.

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Saint Izaire

En 862,sous le règne de Charles-le-Chauve, un riche seigneur du pays, du nom de Rolland, fit donation aux moines bénédictins récemment installés à Vabres de tous ses biens:
le domaine des Armayrols avec une chapelle dédiée à Saint-Izaire.
L’abbé Rolland après avoir donné tous ses biens au monastère de Vabres embrassa la vie religieuse dans ce même monastère qu’il venait de si richement doter.
Les abbés bénédictins de Vabres sont donc devenus pasteurs spirituels et seigneurs temporels de ces biens et pour obtenir la protection du roi de France ils durent lui en concéder le « paréage ». Ainsi roi et abbés (et plus tard évêques) de Vabres en deviennent coseigneurs. En 1285, un accord fixe les droits de l’un et des autres.
Le traité de Brétigny (1360) cède le Rouergue aux Anglais qui tentent de s’attacher la population. De 1362 à 1370, une garnison anglaise aux ordres du capitaine Folques l’Allemant cohabite avec les gens de l’évêque dans le château de Saint-Izaire. Elle l’évacuera sans combat lorsque la révolte commencera à gronder. Au commencement du 15ème siècle les remparts tombaient en ruine ; ils furent reconstruits par les soins de l’évêque, Monseigneur Guillaume de Bastide (évêque de 1412 à 1421)

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Brousse le Chateau

Perché sur un éperon rocheux, édifié au confluent du Tarn et de l’Alrance, le château fort fut bâti au IXe siècle. Après avoir appartenu aux Comtes de Rodez et à la famille d’Arpajon il fut racheté en 1839 par la commune qui le transforma en presbytère.
Du Moyen-Age, il a conservé son enceinte fortifiée, son chemin de ronde ainsi que ses cinq tours de défense.

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Vabres l’Abbaye

A 4 km à l’Ouest de Saint-Affrique sur la rive gauche du Dourdou ; près du confluent de la vallée du Dourdou et de la Sorgue.
Petite cité au passé prestigieux ; l’historien Grégoire de Tours au VIe siècle en parle comme d’une petite ville.
En 862, sous le règne de Charles le Chauve un grand monastère de religieux bénédictins y fut fondé.
De 1317 à 1790 Vabres fut aussi le siège d’un évêché ; les évêques de Vabres habiteront la maison qui subsiste encore à côté de l’église. Ils résidaient aussi dans leur château de Saint-Izaire.
Au XIXe et au début du XXe siècle, grâce aux alluvions fertiles du Dourdou, ce village est devenu le village des maraîchers qui alimentaient en légumes Saint-Affrique et toute sa région.
A voir : La cathédrale des XIVe et XVe siècles, remaniée après un incendie de 1568. Son buffet d’orgue de 33 jeux construit par Nicot (facteur du Roy) en 1761, Pont vieux du XIIIe siècle.
Pont neuf de 1734, Maison des Échevins du XVIIe siècle, Table d’orientation à Peyralbe en face de Vabres-l’Abbaye (accès de Saint-Affrique route de Ségonzac).